Propitiatoire

Ce terme dérive d’un verbe qui signifie :couvrir, d’où l’interprétation « couvercle », mais aussi « couvrir le péché, expier », d’où l’interprétation « propitiatoire ». C’est le sang répandu sur le coffre de l’alliance qui rendait Dieu « propice » au peuple. Le propitiatoire couvrait le coffre qui contenait les dix commandements : signe de la miséricorde de Dieu qui ne voyait plus les transgressions de la Loi mais seulement le sacrifice expiatoire destiné à les couvrir. Dans Romains 3.25, le mot propitiatoire est appliqué au Christ.